Dans ma tribune publiée dans le magazine de la ville de Bussy-Saint-Georges j’évoque notamment le climat social dégradé et l’absence de dialogue social au sein de la mairie, la rentrée scolaire, l’inaccessibilité du gymnase Jazy et le très faible recours à la démocratie participative.
Bonne rentrée à toutes et à tous
Avant toute chose, je souhaite apporter tout mon soutien aux agents municipaux que je sais très attachés à un service public de qualité mais qui travaillent malheureusement dans des conditions difficiles et dans un climat social dégradé. En l’absence de direction générale et donc de cap, je tiens à souligner leur implication à faire du service public, une priorité. Le prochain Maire devra être plus respectueux et veiller à maintenir un environnement serein, plus sain et ouvert au dialogue social. Bonne rentrée à nos enfants, à nos jeunes, aux enseignants et autres professionnels de l’enseignement et de l’éducation qui ont repris le chemin de l’école. La grève aux collèges Cousteau et à Anne Franck, la délocalisation de Monet démontrent qu’il faut sans cesse lutter pour que tous puissent travailler dans de bonnes conditions, clés indispensables pour suivre une bonne scolarité. La réussite éducative doit être une priorité. Il est fort regrettable, en plus de la baisse du pouvoir d’achat des familles Buxangeorgiennes impactées par l’augmentation des tarifs de cantine et du périscolaire en 2019, que ces dernières, mais également les associations et les établissements scolaires soient pénalisés par l’inaccessibilité des installations sportives communales telles que le gymnase Jazy. Cela aurait pu être évité ! Enfin, je déplore le très faible recours au principe de démocratie participative qui doit être la règle à Bussy. Très attaché à ce principe, je ne conçois pas que la parole ne soit pas donnée aux Buxangeorgiens pour des projets et/ou aménagements de la ville et/ou à la vie de nos quartiers. Aussi, parce que votre parole compte, rejoignez-nous afin d’écrire un avenir meilleur à Bussy !
Loïc MASSON
Lire ma tribune dans le Mag n°202 (en page 41) :